Ce qui caractérise le partenariat avec un organisme comme le CEFOD, c’est l’innovation et l’exemplarité. Cela a été le cas par le passé, avec l’installation du système d’alimentation en énergie solaire par exemple. C’est encore le cas aujourd’hui avec la mise en place de nouvelles filières de formation. Nous collaborons avec le CEFOD dans un esprit de confiance et d’estime mutuelle et nous sommes ouverts pour la suite. Longue vie au CEFOD ! (Extrait du  Tchad & Culture n°360 – Octobre 2017)

Je pense que le CEFOD doit sauvegarder et renforcer ses importants acquis et valoriser son rôle de temple du savoir. Il doit en bref, animer la vie intellectuelle à N’Djaména et pourquoi pas dans les grandes villes secondaires. Je voudrais également profiter de cette occasion pour lancer un appel pressant à tous les partenaires, en particulier le Gouvernement et les bailleurs de fonds pour qu’ils aident le CEFOD à mieux conserver tous les documents juridiques et autres ouvrages importants pour que la génération actuelle et les générations futures puissent en profiter. (Extrait du  Tchad & Culture n°360 – Octobre 2017)

Je connaissais le CEFOD de réputation : son Centre de Documentation, ses publications. Pour moi, le CEFOD est le meilleur moyen de comprendre la société tchadienne d’aujourd’hui. Trop souvent, par habitude, par confort ou par manque de temps, les diplomates restent entre eux, ils travaillent avec les institutions ; ils ne vont pas assez au contact des populations. Ses activités permettent de mieux connaître le pays et ses aspirations diverses. De plus, ce qui m’a heureusement surpris, c’est que le CEFOD n’est pas simplement un observateur avisé, c’est aussi un acteur engagé. Il ne se contente pas de rassembler les informations, de les synthétiser, mais il organise aussi les débats, des formations. (Extrait du  Tchad & Culture n°360 – Octobre 2017)